Cet article est le fruit d’une réflexion partagée lors de deux journées d’étude, la première organisée en octobre 2013 à Berne par Xavier Dayer et prolongée en mars 2015 à Rennes par Antoine Bonnet et Pierre-Henry Frangne, autour de Mallarmé et la musique.
Dans cet article, intitulé « Une pensée du langage », je montre comment la musique – en particulier celle de Wagner – aide Mallarmé à réfléchir à sa propre activité poétique et l’oblige finalement à remettre en question son esthétique.
Publié dans Antoine Bonnet et Pierre-Henry Frangne (dir.), Mallarmé et la musique, la musique et Mallarmé. L’écriture, l’orchestre, la scène, la voix, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. Aesthetica, 2016, p.48-58.