Dans le cadre du numéro consacré à l’année 1980 par Gilles Philippe et Jérôme Meizoz, je montre à partir de quelques textes d’Yves Bonnefoy – tirés de L’origine de la parole – comment la « mort de l’auteur » proclamée par Barthes et Foucault est dépassée et renversée dans une nouvelle perspective qui fait de l’auteur l’ultime trace qui demeure de l’effacement du texte.
Cet article publié dans le numéro 312 de la revue Etudes de lettres est consultable à l’adresse: https://doi.org/10.4000/edl.2407